mon heure d'afrique

Mon Heure d’Afrique

Vous êtes :

  • un dirigeant d’une chaine de télévision.
  • Distributeur d’un bouquet de chaines de télévisions
  • Une plateforme d’IPTV

cette émission est faite pour vous et votre cible.

Une émission télé francophone mensuelle d’une heure consacrée à l’actualité résiliente du continent, commentée par un ou des invités africains de marque.

D’une durée de 52 minutes hors générique de début et de fin, « Mon Heure d’Afrique » comprend une thématique centrale en fonction de l’actualité africaine. Tout d’abord mensuelle, elle sera démultipliée autant que de besoin en fonction du succès remporté par sa diffusion.
Le choix de l’invité qui participe « en direct »  détermine la sélection des reportages diffusés pendant l’émission. Au nombre de trois, ils ouvrent la première demi-heure de l’émission afin de lancer la problématique choisie en accord avec l’invité. L’invité commente au fur et à mesure ces trois reportages qu’il découvre en même temps que les spectateurs. Ils sont là pour lui permettre d’aborder plusieurs facettes tout en présentant son action.
La deuxième partie de l’émission met en scène l’invité dans le cadre d’un entretien questions réponses après une brève introduction au cours duquel il est challengé par trois experts faisant autorité dans leur discipline. Ces derniers pré enregistrent leurs questions que l’invité découvrent en direct et auxquelles il répond en détail grâce à d’habiles relances de la part du présentateur.
Tout au long de cette séquence, de l’infographie ainsi que des images pertinentes sont insérés pour mieux éclairer les propos de l’invité.

Pourquoi une nouvelle émission sur l’Afrique depuis Paris ?

Bien que des émissions « sur » et « pour » l’Afrique pullulent sur la toile, leur audience -à quelques exceptions près- restent faibles. Grâce à la création d’un réseau de télévisions privées avec lesquelles l’association Mon Heure d’Afrique a établi un partenariat, l’émission « Mon Heure d’Afrique » (MHA) prétend atteindre une audience à la fois nationale et panafricaine.
Souvent réalisées avec de faibles moyens techniques, ces émissions sur You tube apportent, certes, un regard africain, mais elles ne permettent pas toujours de donner la mesure des enjeux actuels en ce qui concerne les grandes questions politiques, économiques, financières ou bien sur le climat, la santé, l’éducation. Une actualité résiliente propre au continent qui sera traitée-en priorité- par MHA.
En prenant le parti pris d’être réalisée depuis Paris, « Mon Heure d’Afrique » entend toucher un public francophone à la fois en Afrique de l’Ouest et du Centre, mais aussi parmi les diasporas africaines partout dans le monde, ainsi que tous les Francophones de l’Hexagone et de la planète qui s’intéressent au continent. Des éditions spéciales avec des invités de marque anglophones de passage à Paris sont également, prévues. Elles donneront lieu, dans ce cas, à un double enregistrement Anglais/Français pour limiter le sous titrage au seul invité.
L’accès à des personnalités décisionnaires pour le devenir du continent permet de confronter l’information à la source. Dans sa ligne éditoriale, « Mon Heure d’Afrique » vise, toutefois, à privilégier le point de vue des forces vives du continent. Ces Africains (jeunes, femmes, chefs d’entreprise du secteur privé, agriculteurs, commerçants, etc.), à qui l’on ne donne moins souvent la parole dans les grands médias internationaux au profit de la classe politique.

Le catalogue des émissions

Mon Heure d’Afrique reçoit M. Lionel ZINSOU

Mon Heure d'Afrique Lionel Zinsou

Le thème choisi pour cette émission diffusée en partenariat avec le groupe Financial Afrik porte sur les solutions à court, moyen et long terme pour faire repartir les économies africaines après la crise sanitaire du Covid-19 qui a mis la planète à l’arrêt. Pendant une heure, Lionel Zinsou est interrogé sur les grandes questions d’actualité (les vaccins, l’émission de Droit de tirage spéciaux, l’avènement de l’ECO, etc.) à partir de la diffusion de trois reportages filmés.
Avant d’être challengé par deux experts, reconnus dans leur domaine de compétence, sur la question de la dette africaine et les termes de l’échange entre l’Afrique et l’Europe, dans le cadre notamment de la mise en place de la Zlecaf, ainsi que sur la nécessité d’accélérer l’industrialisation du continent. Dans le rôle des experts pour ce premier numéro de « Mon Heure d’Afrique » figurent le Franco-marocain Anour Hassoune, directeur général de WARA, une agence de notation africaine, spécialiste de la dette souveraine, et Claude Fischer Herzog, présidente d’ASCPE les entretiens européens et eurafricains.

Mon Heure d’Afrique reçoit M. Djimé ADOUM

L’ancien ministre tchadien de l’agriculture et secrétaire général du Comité permanent inter-états de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) pendant sept ans, Djimé Adoum, qui officiellement pris ses fonctions à Bruxelles le 16 septembre dernier en tant que Haut représentant de la Coalition pour le Sahel, en est l’invité de marque.
Le thème choisi pour cette émission : « Développer le Sahel : mission impossible ? » a permis de passer en revue les grands défis auxquels sont confrontés -aujourd’hui- les Sahéliens : les menaces terroristes et les conflits sous-jacents, l’afflux des réfugiés et de personnes déplacées, les conséquences du dérèglement climatique et la dégradation des terres agricoles ainsi que la corruption rampante, notamment dans les contrats miniers.
Djime Adoum a expliqué en détail le rôle de la Coalition pour le Sahel sur la base des quatre piliers décidés au Sommet de Pau en janvier 2020 par les Chefs d’Etat du G5 Sahel, à savoir la stratégie militaire, la formation des armées des pays du Sahel, le retour de l’Etat et des administrations et, surtout, le développement. Il a aussi commenté trois reportages filmés au Sénégal, au Niger et au Burkina Faso, avant d’être challengé sur le « plus » que représente cette Coalition par rapport aux autres organisations présentes dans la région, le risque de fracture stratégique, l’évolution des conflits traditionnels éleveurs/pasteurs et la gouvernance minière.
Dans le rôle des experts qui ont accepté de challenger le Haut Représentant de la Coalition pour le Sahel figurent Emmanuel Dupuy, président de l’Institution de Prospective et de Sécurité en Europe (IPSE), Estelle Barack, fondatrice et présidente du Cabinet de conseil KeraliT et Alain Antil, directeur du Centre Afrique Subsaharienne de l’Institut français des Relations internationales (Ifri).

Mon Heure d’Afrique reçoit Mme Euphrasie KJOUASSI YAO et Afsat ABIOLA

Mon heure d'Afrique reçoit Mme Euphrasie Kouassi YAO et Hafsat ABIOLA

Pour cette édition consacrée à l’excellence et au leadership des femmes africaines, le thème discuté est : « La richesse de l’Afrique, une affaire de femmes ? » avec deux invitées d’honneur dont le destin singulier et les circonstances leur ayant permis de se hisser au sommet sont des sources d’inspiration pour leurs congénères et les générations montantes.

Il s’agit de l’ex ministre ivoirienne de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l`Enfant, Euphrasie Kouassi Yao, première femme détentrice de la chaire Unesco « Eau, femmes et pouvoirs de décision, qui a présidé, en juin dernier les célébrations du dixième anniversaire du Compendium des Compétences féminines en Côte d’Ivoire (COCOFCI) ; et de la Nigériane Hafsat Abiola, qui préside l’organisation Women in Africa (WIA), dont l’engagement d’une vie en faveur de la démocratie et du développement est un hommage à ses parents assassinés à l’époque du régime militaire et, notamment, à sa mère.

Interrogées sur les raisons qui font, -qu’aujourd’hui encore-, le travail des femmes est aussi peu visible dans le PIB des 54 pays africains, les deux militantes des droits de la femme citent les pesanteurs culturelles et sociologiques, obligeant des milliers d’entrepreneures dont certaines, comme au Nigéria sont milliardaires, à rester cantonnées dans l’informel. Regrettant que ce fabuleux gisement du talent des femmes africaines ne soit pas encore utilisé à sa juste valeur, elles sont unanimes à saluer les progrès réalisées ces dernières années à condition de continuer à tout mettre en œuvre pour atteindre une taille critique dans la formation de ces femmes.

Dans le rôle des experts qui ont accepté de challenger ces deux femmes inspirantes ou de témoigner à leur tour de l’excellence des femmes africaines figurent Christine Jouan Bruneau, Présidente de Femmes de demain et Vice-présidente de l’Union internationale des associations et organismes scientifiques (UATI), partenaire officiel de l’Unesco, Eric Bazin, fondateur du Land of African Business (LAB), un réseau d’acteurs économiques, associatifs, politiques et institutionnels pour penser le futur d’un entreprenariat inclusif en Afrique et Aude de Thuin, fondatrice de Women in Africa (WIA) qui délivre un plaidoyer circonstancié pour que les banquières africaines financent davantage les entrepreneures africaines.

Mon Heure d’Afrique reçoit M. Mabingué NGOM

Mon Heure d'Afrique reçoit M. Mabingué NGOM

Faire décoller l’Afrique en l’aidant à capturer son dividende démographique

Capitaliser sur les 60% de leurs populations âgées de moins de 25 ans pour mieux capturer le dividende démographique – c’est le défi majeur auquel sont confrontés les 54 pays africains s’ils veulent décoller.
Le dividende démographique, c’est quand le pourcentage des actifs dépassent celui des inactifs. Ce point sera atteint en 2050 en Afrique. Mais sans des politiques inclusives favorisant la santé, l’éducation et l’emploi, ce décollage ne se produira pas.
Pour nous en parler, Mon Heure d’Afrique a demandé à un grand spécialiste de la planification des politiques publiques, l’économiste sénégalais Mabingué Ngom,
Conseiller principal de la Directrice exécutive du Fonds mondial des Nations Unies pour la population et Directeur du Bureau de l’UNFPA auprès de l’Union africaine et de la Commission économique pour l’Afrique, de nous en révéler tous les aspects.

Qui sommes-nous?

Christine HOLZBAUER Mon Heure d'Afrique

Conçue et réalisée par la journaliste Christine Holzbauer Gueye, Mon Heure d’Afrique défend un point de vue africain grâce à des reportages réalisés en Afrique par des télévisions africaines partenaires, dont le travail est ainsi mis en avant. A un moment où la relation entre le continent et la France est au plus bas, le pari de réaliser cette émission depuis Paris est audacieux. « C’est l’occasion de parler des sujets qui fâchent, non seulement dans la relation entre l’Afrique et l’Europe, pour savoir si elle est honnie ou bénie et comment la faire évoluer, mais également des blocages intrinsèques aux sociétés africaines et la manière dont les intéressés perçoivent eux-mêmes ces blocages», explique la productrice de Mon Heure d’Afrique.

Spécialiste de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, cette journaliste chevronnée a sillonné le continent en tant que correspondante de grands journaux français à partir de Bamako (Mali) puis de Dakar (Sénégal), où elle a vécu pendant plus de quinze ans. En parallèle à l’émission qu’elle produit, réalise et présente, elle a créé une association éponyme destinée à promouvoir la liberté d’expression en Afrique et dans les diasporas africaines par l’audiovisuel.

L’association Mon Heure d’Afrique organise des formations de Journalistes Reporter d’Image (JRI) ainsi que des séminaires pour aider les rédactions locales à lutter contre les fake news en créant une rubrique « Vrai ou Faux », diffusée de façon régulière sur leurs antennes.

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